28e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: blanc
ÉDITORIAL MARS 2024 L’endroit le plus pauvre de notre cœur Au moment d’écrire ces lignes, je referme un roman intitulé N’ayons pas peur du ciel, d’Emma Hooper. Il raconte l’aventure […]
Éditorial FÉVRIER 2024 Des vies consacrées Si vous avez l’habitude de feuilleter Prions en Église, vous aurez peut-être remarqué que deux signatures familières ne paraissent plus dans nos pages depuis un […]
Nos «muscles spirituels» Quiconque entretient sérieusement une vie de prière le sait bien: le défi principal consiste à harnacher notre esprit, qui virevolte naturellement d’une pensée à l’autre. Il m’arrive […]
Le contre-pied de la violence Qu’est-ce que le contraire de l’amour? Question facile, n’est-ce pas? La haine. On apprend dès le plus jeune âge cette opposition qui semble universellement acceptée. […]
Au-delà de nos morts Les jeunes enfants ont souvent un rapport confus au temps et à l’espace. Avant que leur esprit place au bon endroit les morceaux qui forment l’étrange […]
Enracinés comme les saints Octobre, pour moi, c’est le mois des saints. Certes, le calendrier liturgique en célèbre davantage à d’autres périodes de l’année. Mais en octobre, on fait mémoire […]
La liturgie dans tous les sens La liturgie mobilise tout le corps humain. D’ailleurs, le mot liturgie prend ses racines dans un terme grec qui signifie «service public». Or, la […]
N’attendons pas la caméra avant d’aimer Pendant un long temps de ma vie, je me sentais «en préparation» de quelque chose. Adolescent, j’avais l’impression d’être constamment en train d’apprendre à […]
La prière et la célébration de l’eucharistie devraient être des temps bénis pour prendre du recul. Pour nous regarder vivre avec les yeux de Dieu.
«Viens en discuter sur Facebook, on verra bien qui aura raison.» Voilà l’invitation que l’on m’a lancée récemment, à la suite d’un échange rapide sur la situation des femmes en Église. En apparence, rien de plus honnête et civilisé.
Mais à y voir de plus près, ce semblant d’appel au dialogue est voué à l’échec. Tout d’abord, le lieu: les réseaux sociaux n’incitent guère à la même ouverture que le face-à-face. D’autant plus que les «amis» des deux partis risquent de se constituer en arbitres… tout sauf impartiaux. Et puis, il y a l’objectif poursuivi: avoir raison. Si la recherche de la vérité est nécessaire et admirable, l’expérience nous montre avec éclat qu’elle se dévoie rapidement en batailles de mots quand elle est menée par des gens qui cherchent à obtenir gain de cause.