2e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: vert
1 Samuel 15, 16-23 ; Marc 2, 18-22
Jésus nous rappelle que le jeûne n’est ni une pratique légaliste ni un sacrifice offert à Dieu. Le prophète Samuel le redit à Saül, le sacrifice qui plaît à Dieu est l’obéissance à sa parole, une parole toujours nouvelle. Le jeûne n’a de sens que s’il ouvre à Dieu et aux autres, s’il exprime le désir de l’alliance avec Dieu, dans l’assurance de se savoir toujours invité au repas des noces avec le Christ. ■
Colette Hamza, xavière
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