19e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: blanc
Matthieu 17, 22-27
La tristesse des disciples est inséparable du contexte judéo-romain : il est plus facile d’imaginer la mise à mort de Jésus par le pouvoir d’hommes hostiles que sa résurrection par la puissance de Dieu. Le poisson pêché par Pierre est alors le signe que l’impôt dû aux puissants est subordonné au don du Créateur de toute vie. Jésus est infiniment libre par rapport aux rois de la terre précisément parce qu’il est Fils de Dieu. ■
Nicolas Tarralle, prêtre assomptionniste
Un amour sans ficelles Je me souviens encore du pire cadeau que j’aie jamais offert. J’avais dix-sept ans et un faible pour une fille qui célébrait son anniversaire. Tout fier,…
1193-1253 . “Sois béni, Seigneur, de m’avoir créée !” : tels furent les derniers mots de “la petite....
Moïse disait au peuple : « Maintenant, sais-tu, Israël, ce que le Seigneur ton Dieu te demande ? Cra...
Glorifie le Seigneur, Jérusalem ! Célèbre ton Dieu, ô Sion ! Il a consolidé les barres de tes portes...
En ce temps-là, comme Jésus et les disciples étaient réunis en Galilée, il leur dit : « Le Fils de l...
Antienne d’ouverture Pour moi, comme un bel olivier dans la maison de Dieu, j’espère en la miséricor...
Si le monde à venir est parfois décrit, à l’image de l’acte créateur, comme une nature réconciliée,...
Le choix du carmel par Edith Stein est envisagé à la lumière du livre d’Osée, sous l’angle d’une all...
Savoir que le Seigneur est Dieu et qu’il n’y en a pas d’autre est le défi lancé à chacun de nous, ta...
Face à la contestation et à l’épreuve liées au manque d’eau, Moïse et Aaron se rendent à la tente de...