18e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: vert
Nombres 20, 1-13
Face à la contestation et à l’épreuve liées au manque d’eau, Moïse et Aaron se rendent à la tente de la Rencontre pour s’en remettre à Dieu. Leur geste de prosternation exprime tout à la fois leur impuissance et leur confiance en celui pour qui « rien n’est impossible ». Laissant à Dieu le champ libre, ils font l’expérience de sa présence. Ce qui n’empêche pas la foi de Moïse, comme cela arrive à la nôtre, de flancher par la suite, quand il frappe le rocher au lieu de lui « parler ». ■
Emmanuelle Billoteau, ermite
Un amour sans ficelles Je me souviens encore du pire cadeau que j’aie jamais offert. J’avais dix-sept ans et un faible pour une fille qui célébrait son anniversaire. Tout fier,…
IIIe siècle. Élu pape en 257, Sixte II fut arrêté l’année suivante, lors d’une célébration dans les....
En ces jours-là, le premier mois de l’année, toute la communauté des fils d’Israël arriva dans le dé...
Venez, crions de joie pour le Seigneur,acclamons notre Rocher, notre salut !Allons jusqu’à lui en re...
En ce temps-là, Jésus, arrivé dans la région de Césarée-de-Philippe, demandait à ses disciples : « A...
Antienne d’ouverture Mes pensées, dit le Seigneur, sont des pensées de paix et non de malheur. Vous....
Luc est le seul à mentionner la prière de Jésus entraînant ses disciples avec lui. Une prière qui le...
La relation privilégiée de Moïse au Seigneur, source de jalousie et de médisance, n’est-elle pas à c...
Le livre des Nombres nous invite à nous interroger sur notre rapport à l’aujourd’hui de Dieu. Le peu...
Un homme vient demander à Jésus d’arbitrer un conflit autour d’un héritage. Jésus a l’air agacé par...
