18e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: blanc
Nombres 11, 4b-15
Le livre des Nombres nous invite à nous interroger sur notre rapport à l’aujourd’hui de Dieu. Le peuple, comme nous le faisons souvent, idéalise le passé et en vient à préférer un « confort » relatif – pourtant assorti d’une servitude bien réelle – à la nouveauté d’un présent dont il ne constate que l’aspect répétitif et lassant. N’est-ce pas là la manifestation de l’oubli, oubli de l’oppression, des hauts faits de Dieu, de sa présence active et de sa promesse, qui s’accomplira en son temps ? ■
Emmanuelle Billoteau, ermite
Un amour sans ficelles Je me souviens encore du pire cadeau que j’aie jamais offert. J’avais dix-sept ans et un faible pour une fille qui célébrait son anniversaire. Tout fier,…
1786-1859. “Venez à la communion, venez à Jésus, venez vivre de lui, afin de vivre pour lui”, recomm...
En ces jours-là, dans le désert, les fils d’Israël se remirent à pleurer : « Ah ! qui donc nous donn...
« Mon peuple n’a pas écouté ma voix,Israël n’a pas voulu de moi.Je l’ai livré à son cœur endurci :qu...
En ce temps-là, quand Jésus apprit la mort de Jean le Baptiste, il se retira et partit en barque pou...
Antienne d’ouverture Que la croix de notre Seigneur Jésus Christ soit ma seule fierté. Par elle, le....
Un homme vient demander à Jésus d’arbitrer un conflit autour d’un héritage. Jésus a l’air agacé par...
La scène est effroyable, d’une violence inouïe. Comment Hérode en est-il venu à ordonner la mise à m...
Jésus est chez lui à Nazareth et, pourtant, il n’y est pas vraiment reçu ; entre lui et les gens de...
Nous rêvions d’une pêche abondante, d’un filet chargé de bons poissons. Et voici que de mauvais pois...