34e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: vert
Luc 21, 34-36
Jésus invite à se tenir sur ses gardes, non pas d’abord en fonction d’un danger extérieur mais d’une propension intérieure au sommeil de l’esprit. Un sommeil qui nous fait oublier que ce monde passe et que notre vie est orientée vers la rencontre avec le Fils de l’homme dont la venue relève de l’inattendu. Les « beuveries », « l’ivresse » et les « soucis de la vie », qui occultent notre relation à Dieu et nous rendent absents à nous-mêmes, nous étant présentés ici comme un lieu de vigilance. ■
Emmanuelle Billoteau, ermite
Meubler son attente Pour la plupart d’entre nous, attendre n’est pas une expérience des plus agréables. Faire la file pour passer à la caisse, patienter au bout du fil jusqu’à…
Sernin. Premier évêque de Toulouse. Son ardeur évangélique provoqua la colère des païens qui voulure...
Moi, Daniel, j’avais l’esprit angoissé, car les visions que j’avais me boul...
Et vous, les enfants des hommes, bénissez le Seigneur.R À lui, haute gloire, louange.....
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Tenez-vous sur vos garde...
Antienne d’ouverture Je suis le salut de mon peuple, dit le Seigneur, dans toutes les épreuves, s’il...
Dans le contexte du chapitre 21 de l’évangile de Luc, l’image du figuier nous inv...
Les catastrophes évoquées dans l’évangile appartiennent au langage tradit...
Les épreuves auxquelles nous attachons spontanément une connotation négative ap...
Où trouver son assise quand le monde alentour semble pris de folie, quand la précarit...
