23e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: blanc
1 Timothée 1, 15-17 ; Luc 6, 43-49
Luc clôture le sermon dans la plaine par deux images qui insistent sur le lien entre ce qui est caché, au fondement, et ce qui est visible. L’arbre bon qui produit de bons fruits et la maison bien fondée qui résiste aux inondations renvoient à la même réalité : une humanité enracinée, intégrée et « alignée », comme celle de Paul qui a laissé toute son existence se remettre en ordre à partir de la patience du Christ. ■
Jean-Marc Liautaud, Fondacio
Meubler son attente Pour la plupart d’entre nous, attendre n’est pas une expérience des plus agréables. Faire la file pour passer à la caisse, patienter au bout du fil jusqu’à…
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Bien-aimé, voici une parole digne de foi, et qui mérite d’être accueillie sans réserve : le Christ J...
Louez, serviteurs du Seigneur,louez le nom du Seigneur !Béni soit le nom du Seigneur,maintenant et p...
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Un bon arbre ne donne pas de fruit pourri ; jamais....
Antienne d’ouverture Ceux qui ont l’intelligence resplendiront comme la splendeur du firmament, et c...
Les textes de ce jour remettent en question nos rapports d’apprentissage. Pour ne pas nous fourvoyer...
Le texte grec de Luc ne dit pas « prêtez sans rien espérer en retour » mais « sans ja...
Vivre en ressuscité, selon la lettre aux Colossiens, ce n’est pas être « sorti d’affaire »...
L’auteur de la lettre aux Colossiens a le sens de la formule. Il présente le baptême comme une vérit...
