21e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: vert
1 Thessaloniciens 2, 1-8 ; Matthieu 23, 23-26
Aujourd’hui encore, le parallèle entre les textes est inspirant. Dans l’évangile, Jésus dénonce chez ses adversaires une religion dont les marqueurs sont à l’extérieur : elle échoue à ajuster à Dieu le cœur de ceux qui la pratiquent. C’est ce cœur transformé qui se livre à nous à travers le portrait que Paul fait de lui-même en évoquant son ministère à Thessalonique, doux, désintéressé et sans effets de séduction. ■
Jean-Marc Liautaud, Fondacio
Un amour sans ficelles Je me souviens encore du pire cadeau que j’aie jamais offert. J’avais dix-sept ans et un faible pour une fille qui célébrait son anniversaire. Tout fier,…
Vers 470-543. Un des grands prélats de l’époque mérovingienne, évêque d’Arles pendant quarante ans.....
Frères, vous le savez bien vous-mêmes, notre venue chez vous n’a pas été inutile. Nous venions de so...
Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais ! Tu sais quand je m’assois, quand je me lève ; de très loin, tu...
En ce temps-là, Jésus disait : « Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que v...
Antienne d’ouverture Seigneur, j’ai mis mon espoir en ta miséricorde ; mon cœur a exulté dans ton sa...
D’un côté, une pratique religieuse crispée sur la Loi, qui se noie dans les dédales de la jurisprude...
Isaïe proclame une parole d’espérance : le Seigneur veut donner à tous les peuples de la terre...
Beaux parleurs, nous sommes tous très doués pour dire aux autres ce qu’ils doivent faire où éviter !...
En écho à la fête de l’Assomption, l’Église fait mémoire de Marie, Reine. La femme de l’Apocalypse,...