26e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: blanc
Luc 9, 57-62
La suite du Christ est une marche, sans lieu où demeurer, sans regard en arrière. Toute l’existence de Jésus est à la dure, sans assurance. Voilà pourquoi il est si difficile à suivre, malgré nos désirs. « Suis-moi. » Avec lui, le repos n’est pas un lieu mais une attitude intérieure, une demeure établie en Dieu. Regarder en arrière ou s’arrêter serait mourir. Marche, habite le Vivant.
Colette Hamza, xavière
Meubler son attente Pour la plupart d’entre nous, attendre n’est pas une expérience des plus agréables. Faire la file pour passer à la caisse, patienter au bout du fil jusqu’à…
1873-1897. Depuis plus d’un siècle, la “petite voie, bien droite, bien courte […] toute nouvelle” po...
Moi, Néhémie, j’étais alors échanson du roi. La vingtième année du règne d’Artaxerxès, au mois de Ni...
Au bord des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions,nous souvenant de Sion ;aux saul...
En ce temps-là, en cours de route, un homme dit à Jésus : « Je te suivrai partout où tu iras. » Jésu...
Antienne d’ouverture Le Seigneur a entouré sainte Thérèse, il l’a instruite, il l’a gardée comme la....
Comme Jésus, ses disciples ne sont pas reçus. « Il est venu chez lui et les siens ne l’ont pas...
Nous fêtons les anges : Michel, qui signifie « qui donc est comme Dieu ? » ; Gabriel...
Les prophètes ne cessent d’appeler à ouvrir l’oreille au cri du pauvre, du démuni, à agir comme le C...
Les disciples ne comprennent pas : les paroles du Seigneur leur demeurent voilées. Pour eux com...
