19e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: vert
Matthieu 19, 13-15
On retient rarement que les disciples ont fini par laisser les enfants venir à Jésus. Le chemin qui mène au Royaume se découvre pareillement en mettant en pratique sa parole dans une obéissance qui nous décentre. D’ailleurs, après son geste, Jésus s’en va. Nous sommes toujours à la fois comme des enfants qui reçoivent sa bénédiction et comme des disciples qui se remettent sans cesse en marche pour le suivre vers le Père. ■
Nicolas Tarralle, prêtre assomptionniste
Un amour sans ficelles Je me souviens encore du pire cadeau que j’aie jamais offert. J’avais dix-sept ans et un faible pour une fille qui célébrait son anniversaire. Tout fier,…
Vers 935-1038. Sacré roi de Hongrie le jour de Noël de l’an 1000, il se consacra à la christianisati...
En ces jours-là, Josué avait réuni toutes les tribus d’Israël, et il leur disait : « Maintenant crai...
Garde-moi, mon Dieu : j’ai fait de toi mon refuge. J’ai dit au Seigneur : « Tu es mon Dieu ! Seigneu...
En ce temps-là, on présenta des enfants à Jésus pour qu’il leur impose les mains en priant. Mais les...
Antienne d’ouverture Toute la terre se prosterne devant toi, qu’elle chante pour toi, qu’elle chante...
Le Nouveau Testament reste discret sur les derniers temps de Marie comme si, après la Pentecôte, la...
Pierre pensait sans doute avoir mis la barre assez haut en suggérant qu’il fallait pardonner sept fo...
Le plus souvent, nous critiquons les personnes qui nous font du mal en leur absence plutôt que d’all...
Pour se donner le privilège de commencer ou de choisir, les enfants ont souvent cet argument :...
