25e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: vert
Qohèleth 11, 9 – 12, 8
La poésie avec laquelle Qohèleth rend compte de la vieillesse – avec la fermeture des sens (vue, ouïe) et l’amenuisement des forces – suggère une entrée en soi-même qui peut déboucher sur une intériorité favorable à notre cheminement vers la « demeure d’éternité ». Cela étant, il n’idéalise en rien ces jours qu’il nous sera peut-être difficile de traverser et dont nous dirons : « Je ne les aime pas. » D’où l’importance de vivre pleinement l’aujourd’hui qui est le nôtre. ■
Emmanuelle Billoteau, ermite
Éditorial OCTOBRE 2024 Une cathédrale dans la tête Pendant longtemps, je me suis senti peu concerné par cette désignation d’octobre comme mois «missionnaire». Les missions, elles se déroulaient bien loin…
XVIIe siècle. Ces seize martyrs de Nagasaki – dont le laïc philippin Laurent Ruiz et le dominicain f...
Réjouis-toi, jeune homme, dans ton adolescence, et sois heureux aux jours de ta jeunesse. Suis les s...
Tu fais retourner l’homme à la poussière ;tu as dit : « Retournez, fils d’Adam ! »À tes yeux, mille....
En ce temps-là, comme tout le monde était dans l’admiration devant tout ce qu’il faisait, Jésus dit....
Antienne d’ouverture Donne la paix, Seigneur, à ceux qui t’attendent ; que tes prophètes soient reco...
L’homme est incapable « d’embrasser l’œuvre que Dieu a faite ». Voilà qui remet notre huma...
Qohèleth s’interroge sur la vie, en remettant en question les idées reçues qui donnent un sentiment...
Le rôle éminent de la parole de Dieu est clairement affirmé. À nous d’expérimenter son caractère méd...
Si Dieu dispose notre cœur comme un canal d’irrigation susceptible de fertiliser les terres asséchée...